
Yoga du Rire et handicap : Inclusion et Bien-Etre
« Le rire est un trait d’union qui permet, sans se parler, la plus belle des communication entre les humains. » Kinou
Yoga du rire pour un public ordinaire et un public aux besoins spécifiques (en situation de handicap)
Les séances de Yoga du Rire incluant handicapés et valides permettent à chacun de lâcher prise. De lâcher la focalisation que le participant peut avoir sa situation. Rire avec les autres membres du groupe quelque soit sa particularités, se détendre, s’amuser. Se donner l’accès à une vie sociale. Au fur et à mesure des séances les participants construisent une image d’eux même et des autres remplie de joie et d’estime. Un groupe au Top de la chaleur humaine et de la bienveillance.


Yoga du rire et maladie, handicap invisible
Le rire permet de réduire la perception de la douleur. Le rire soutient la personne malade en créant une atmosphère sereine, douce, chaleureuse, aimante et rassurante. Le groupe de Yoga du Rire crée cela entre les participants.
Les hormones de stress et leurs manifestations physiques se calment. Les hormones de plaisir vont prendre le relais, lors de séance de Yoga du Rire. Puis, avec la régularité du réflexe Rire au quotidien va s’installer une dédramatisation de la perception de la maladie.
Au niveau physique, l’oxygénation profonde du système respiratoire libère les gaz carboniques restés stockés par l’angoisse dans des alvéoles pulmonaires non mouvementées, lors du souffle court du stress. L’organisme entier est réoxygéné.
Tout cela est réalisé en douceur et de façon adaptée à chaque participant.
Certaines maladies (Alzheimer, sénilité, …) ne permettent plus de rire de façon « intellectuelle ». Le yoga du rire, basé sur des exercices de rire sans raison, permet de rire à nouveau.


Yoga du Rire et handicap
Vivre la décontraction et le bien être dans la joie avec la diversité de chacun. Partager le rire avec plaisir et entretenir une cohésion de groupe.
Le Yoga du Rire pour les handicapés physiques et mentaux développe une amélioration des facultés motrices et de la capacité d’expression.


A raison de 2 à 3 séances par semaine pour voir des bienfaits rapides sur la personne handicapé, l’aidant ou le soignant.
En résumé : Les bienfaits sont les mêmes qu’à la page Happy program for all
Bienfaits du rire pour les personnes en situation de handicap
Bien – être personnel : Le rire est un puissant relaxant musculaire. En riant on secrète des endorphines, hormones qui contrecarrent les excès d’adrénaline et de cortisol générés par le stress.
Le rire réduit l’anxiété, les états dépressifs. Après plusieurs séances, la qualité du sommeil est améliorée.
Antidouleur : Le rire provoque la sécrétion d’endorphine, hormone qui possède des propriétés antalgiques qui permettent de réduire la perception de la douleur.
Bien-être social : Le rire permet de vaincre sa timidité, de lâcher prise. Avec les exercices pratiqués en groupe, les participants s’affranchissent de leurs inhibitions. Ils reprennent confiance à travers le jeu, le rire et les liens d’amitiés. L’image de soi est revalorisée par la cohésion du « groupe rire ». Il y a une reconnaissance dans le rire.
Cultive une vision positive des choses : Lorsque nous rions, les problèmes prennent moins de place dans notre esprit et nous pouvons les considérer autrement. Le rire permet de lâcher prise, il rend plus joyeux et plus énergique. Le rire apporte du plaisir, de la bonne-humeur et un état d’esprit positif.
Stimule les défenses immunitaires : Des études ont démontré que des émotions négatives comme l’anxiété, la dépression, la colère affaiblissent le système immunitaire réduisant ainsi sa résistance aux infections. Des chercheurs ont prouvé qu’au terme d’une séance de rire, il y avait un accroissement d’anticorps dans les muqueuses du nez et les voies respiratoires.
Garder la forme : Le rire sollicite de nombreux muscles et permet une mobilisation du corps en douceur. Le rire fait baisser la tension artérielle après, seulement, 10 minutes d’exercice. Il améliore la circulation sanguine et l’oxygénation de l’organisme.